16ème

 

Francisco Serrão ou Francisco Serrano: Explorateur portugais - Frédéric II de Mantoue ou Frédéric II Gonzague: Noble italien - François III Gonzague dit François III de Mantoue: 2ème duc de Mantoue-Marquis de Montferrat - Catherine d'Autriche: Princesse de la dynastie des Habsbourg-Archiduchesse d'Autriche-Reine consort de Pologne - Éléonore d'Autriche (1534-1594): Archiduchesse d'Autriche-Princesse de Hongrie et de Bohème - Alphonse II d'Este: Cinquième duc de Ferrare, Modène et Reggio - Margherita Gonzaga d'Este dite Marguerite de Ferrare-Duchesse de Ferrare de 1564 à 1618 - Vincent 1er de Mantoue ou Vincent 1er de Gonzague : Duc de Mantoue et de Montferrat - Thomas Erastus : Médecin et théologien suisse - Joseph Juste de Lescale de Vérone dit Joseph Juste Scaliger - William Barclay ou Guillaume Barclay : Juriste écossais - Andreas Eudaemon-Joannes : Prêtre jésuite grec-Philosophe-Théologien et écrivain - John Norreys ou John Norris : Général anglais - Claude de Lorraine ou Claude de Guise : Duc d'Aumale en 1547-Comte puis duc de Guise-Militaire français - Claude II d'Aumale ou Claude II de Lorraine : Marquis de Mayenne et duc d’Aumale de 1550 à 1573 - Fernando de Ávalos dit Ferdinand-François d’Avalos : Marquis de Pescara - Khizir Khayr ad-Dîn dit Barberousse : Grand marin de l'Empire ottoman-Beylerbey (gouverneur-général) de la régence d'Alger-Kapudan pacha (grand amiral) - François de Bourbon ou François de Bourbon-Vendôme : Comte d'Enghien-Général des galères de France en 1543 - Jean d'Annebault : Baron de Retz-Seigneur de Machecoul, d'Annebault et de La Hunaudaye - Abu Marwan Abd al-Malik : Cinquième sultan de la dynastie saadienne de 1576 à sa mort - Bertrand d’Argentré : Juriste et historien breton - René Ier de Rohan : 18ème vicomte de Rohan-Vicomte puis prince de Léon-Marquis de Blain-Comte de Porhoët - Jacques de Savoie : Comte de Genève et duc de Nemours de 1533 à 1585 - Jean III de Portugal dit le pieux : Roi du Portugal - Ahmed al-Mansour ou Abou Abbas Ahmad al-Mansour dit Ad-Dhahbî : Sixième sultan de la dynastie saadienne au Maroc de 1578 à sa mort - Muhammad al-Mutawwakil al-Maslûkh dit Al-Maslûkh ou l'écorché : 4ème sultan de la dynastie saadienne de 1574 à 1576 - Henri 1er dit Le cardinal Henri : Roi de Portugal de 1578 à sa mort - Jeanne d'Autriche ou Jeanne de Habsbourg : Princesse espagnole - Jean de Portugal ou Jean-Manuel : Prince de Portugal - André de Rivaudeau : Poète et dramaturge français - Catherine de Parthenay : Poétesse-Dramaturge et mécène - Henri 1er de Rohan - Isabeau d'Albret de Navarre - Nicolas de Mercœur dit Nicolas de Lorraine : Évêque de Metz de 1543 à 1548 et de Verdun de 1544 à 1547-Comte de Vaudémont 1548 à 1577-Seigneur de Mercœur de 1563 à 1569-Duc de Mercœur de 1569 à 1577 - Jacqueline de Longwy : Comtesse de Bar-sur-Seine-Duchesse de Montpensier-Dauphine d'Auvergne - Antoine de Bourbon : Prince du sang de la maison de Bourbon-Roi consort de Navarre par son mariage avec Jeanne d'Albret - Eustache du Bellay : Évêque de Paris - Gabriel de Lorges dit Gabriel 1er de Montgommery : Comte de Montgomery-Seigneur de Ducey-Seigneur de Lorges - François de France ou François d'Alençon : Duc d'Alençon-Duc d'Anjou, de Touraine-Duc de Brabant et Château-Thierry - Jean V de Parthenay-L'Archevêque ou Larchevêque : Sieur de Soubise-Seigneur des Herbiers et de Mouchamps - Charles de Quellenec dit Charles II de Quellenec : Baron du Pons ou de Pont et de Rostrenen-Noble protestant français - Nicolas Rapin : Militaire et poète français - François Le Felle de Guébriant : Seigneur de Guébriant - Louis de Lorraine dit Louis II de Lorraine ou le cardinal de Guise puis de Lorraine : Archevêque-duc de Reims de 1574 à 1588 - Frédéric II du Palatinat dit Frédéric II le Sage : Comte Palatin du Rhin-Électeur palatin de 1544 à 1556 - James Law : Prélat écossais-Évêque des Orcades de 1605 à 1615-Archevêque de Glascow de 1615 à 1632 - Nicolas de Laval-Montfort dit Guy XVI de Laval : Comte de Laval-Baron de Vitré-Vicomte de Rennes-Baron de La Roche-Bernard-Baron d'Acquigny et de Crevecœur-Seigneur de Montfort et de Gaël-Baron de Quintin et du Perrier - Louis III de Bourbon-Vendôme dit Louis III de Montpensier : Duc de Montpensier-Prince de sang français - Philippe-Emmanuel de Lorraine : Duc de Mercœur et de Penthièvre-Marquis de Nomeny-Baron d'Ancenis-Gouverneur de Bretagne - Charles II d'Autriche ou Karl II Franz : Archiduc d'Autriche intérieure - Antoine Arnauld :  Avocat français - Angélique d'Estrées - Gabrielle d'Estrées - Guillaume de Brunswick Lunebourg dit le Jeune : Duc de Brunswick Lunebourg-Prince de Lunebourg de 1559 à sa mort - Germaine de Foix : Reine consort d'Aragon, de Majorque, de Valence, de Sicile et de Naples-Comtesse consort de Barcelone de 1505 à 1516 - Dorothée de Danemark - Guillaume de La Teyssonnière : Militaire et poète dombiste - Antoine François Paladin : Luthiste - Philippe 1er de Hesse dit le Magnanime : Landgrave de Hesse de 1518 à sa mort - Álvaro Manrique de Zúñiga : Premier marquis de Villamanrique-Vice-roi de Nouvelle-Espagne - Gaspar Yanga - William Adams : Navigateur anglais - Matteo Ricci : Prêtre jésuite italien et missionnaire en Chine - Philibert Hamelin : Prédicateur protestant - Octave Farnèse ou Ottavio Farnese : Second duc de Parme et de Plaisance-Second duc de Castro Jean du Barry : Seigneur de la Renaudie - Charles du Puy-Montbrun : Gentilhomme du Dauphiné-Capitaine huguenot des guerres de religion-Chef des protestants du Dauphiné avant le duc de Lesdiguières - Bertrand-Rambaud de Simiane : Baron de Gordes et de Caseneuve - Gaucher II dit Scévole de Sainte-Marthe : Poète français - Lancelot Voisin de La Popelinière : Sieur de La Popelinière-Homme de guerre, historien et écrivain - Guy du Faur de Pibrac : Seigneur de Pibrac-Poète, magistrat et diplomate français - Jacques Auguste de Thou : Magistrat, historien, écrivain et homme politique français - Jean Châtel - Charles de Gontaut-Biron : Duc de Biron-Maréchal de France - Jacques Patin : Maître peintre bourgeois de Paris - Louise de Coligny - Claude d'Angennes de Rambouillet : Prélat français du 16ème siècle - Henri de Bourbon dit  Henri de Montpensier : Dauphin d'Auvergne-Duc de Montpensier-17ème prince souverain de Dombes-Seigneur de Châtellerault et vicomte de Brosse - Louis de Guise: baron d'Ancerville - Christian II de Danemark : Roi de Danemark et de Norvège de 1513 à 1523-Roi de Suède de 1520 à 1521 sous l'Union de Kalmar - Dorothée de Danemark (1520-1580) : Princesse de l'Union de Kalmar devenue par son mariage électrice consort palatine - Catherine-Marie de Lorraine dite Catherine de Lorraine (1552-1596) : Duchesse de Montpensier - Charles IV d'Alençon ou Charles IV de Valois : Duc d’Alençon-Prince de sang de la maison des Valois - Antoinette de Daillon : Comtesse douairière de Laval - Francisco Vásquez de Coronado : Conquistador espagnol - Baccio della Porta dit Fra Bartolomeo di San Marco : Peintre italien qui devint religieux Dominicain - Francesco di Cristofano dit Franciabigio ou Francia Bigio : Peintre de l'école florentine pendant la Renaissance - Tokugawa Ieyasu : Daimyo puis shogun du Japon - François 1er de Bourbon-Saint-Pol  dit François Ier de Saint-Pol : Comte de Saint-Pol et de Chaumont-Gouverneur du Dauphiné sous le règne de François 1er - Yves Mahyeuc : Évêque de Rennes en 1507 - Marie d'Autriche (1528-1603) : Infante d'Espagne-Impératrice consort du Saint Empire-Reine consort de Germanie, de Bohême et de Hongrie-Archiduchesse consort d'Autriche - Álvaro de Mendaña y Neira : Navigateur et explorateur espagnol - Camille Borghèse dit Paul V :  Élu pape le 16 mai 1605 - Charles-Emmanuel 1er de Savoie dit le Grand : Duc de Savoie-Prince de Piémont de 1580 à 1630 - Marie-Anne de Bavière - Anne de Habsbourg dite Anne d'Autriche (1528-1590) : Archiduchesse d'Autriche - Gabriel de Goulaine - Francisco de Radès et Andrada : Historien espagnol - Marie de Luxembourg : Duchesse de Penthièvre de 1569 à 1623-Princesse de Martigues - Sebastiano Luciani dit Sebastiano del Piombo : Peintre italien de la renaissance - Gustave 1er Vasa ou Gustav Vasa : Régent de Suède de 1521 à 1523-Roi de Suède de 1523 jusqu'à sa mort - Georges 1er de Hesse-Darmstadt dit le Pieux : Landgrave de Hesse-Darmstadt de 1567 à sa mort - Madeleine de Lippe : Comtesse de Lippe-Première landgravine de Hesse-Darmstadt - Giovanni Battista Castagna dit Urbain VII : 228ème pape de l’Église catholique du 15 au 27 septembre 1590 - Juan d'Aguila : Général espagnol - Henri-Jules de Brunswick-Wolfenbüttel : Duc de Brunswick-Lunebourg de 1584 à sa mort - Françoise Babou de la Bourdaisière : Aristocrate française - Antoine IV d'Estrées dit Antoine d’Estrées : Militaire et aristocrate français-Chevalier de l'ordre de Saint-Michel en 1568-Chevalier de l'ordre du Saint-Esprit en 1578-Gouverneur-Sénéchal et premier baron du Boulonnais-Vicomte de Soissons et de Bercy-Seigneur châtelain et 1er marquis de Coeuvres-Gouverneur de La Fère, de Paris et de l'Ile de France - Roger II de Saint-Lary de Bellegarde dit Roger de Bellegarde : Favori des rois Henri III et Henri IV - Petrus Plancius : Commerçant néerlandais d'Amsterdam - Rudolph van Royen Snel dit Rudolph Snellius : Linguiste néerlandais et mathématicien - Auguste 1er de Saxe : Électeur de Saxe de 1553 à sa mort-Comte palatin de Saxe et margrave de Misnie de 1556 à sa mort - Sabine de Brandebourg-Ansbach : Princesse de Brandebourg-Ansbach - Jean II Georges de Brandebourg dit l'Économe : Électeur de Brandebourg de 1571 à 1598 - Christian III de Danemark : Duc d'Holstein et de Schleswig de 1523 à 1533-Roi de Danemark et de Norvège de 1534 à sa mort - Girolamo Pamphilj : Cardinal italien - Guillaume de Brunswick-Lunebourg dit le Jeune : Duc de Brunswick-Lunebourg-Prince de Lunebourg de 1559 à sa mort - Ferdinand d'Aragon : Duc de Calabre-Vice-roi de Valence - Christophe de Wurtemberg : Duc de Wurtemberg de 1550 à sa mort - Sophie de Wurtemberg : Duchesse consort de Saxe-Weimar - Jean-Guillaume de Saxe-Weimar : Prince allemand de la maison de Wettin - François Lambert (réformateur) dit Lambert d'Avignon : Moine franciscain converti à la Réforme-Théologien protestant-Professeur à l'université de Marbourg - Jean 1er de Saxe dit le Constant ou l’Assuré : Électeur de Saxe-Landgrave de Thuringe de 1525 à 1532 - Thomas Müntzer : Prédicateur anabaptiste-Chef religieux de la guerre des paysans dans le Saint Empire - Dona Catarina  Infante de Portugal  dite Catherine de Portugal : Duchesse de Bragance par son mariage - Philippe Louis de Neubourg : Comte Palatin de Neubourg de 1569 à 1614 - Jean II de Saxe-Weimar : Duc de Saxe-Weimar de 1602 à sa mort - Ana de Mendoza et de la Cerda : Princesse d'Éboli-Duchesse de Pastrana-Comtesse de Mélito - Isabelle de Bragance (1514-1576) - Duarte de Portugal dit Duarte duc de Guimarães : 4ème duc de Guimarães - Jan Joosten van Lodensteijn : Marin - Sebald de Weert : Navigateur néerlandais - Jacques Mahu ou Mahue : Amiral au service de la flotte hollandaise-Explorateur et le leader d'une expédition de cinq navires en Inde - Henri 1er de Montmorency : Duc de Montmorency-Connétable de France-Gouverneur du Languedoc pendant cinquante et un ans-Seigneur de Damville - Marguerite Tudor - Pierre Louis Farnèse : Premier duc de Castro-Premier duc de Parme et Plaisance - Gerolama Orsini - Alexandre Farnèse (cardinal) dit Alexandre Farnèse le jeune : Cardinal en 1534 - Charles 1er de Cossé dit le Maréchal de Brissac : Comte de Brissac-Maréchal de France en 1550 - Laurent de Maugiron : Comte de Montléans-Gouverneur de la ville de Vienne-Lieutenant général du Dauphiné - Claude de Savoie : Gouverneur et grand sénéchal de Provence du 31 mars 1525 à sa mort - Charles II de Hohenzollern-Sigmaringen : Comte de Hohenzollern-Sigmaringen de 1576 à 1606 - Barbara de Hesse ou Barbe de Hesse : Duchesse de Wurtemberg-Mömpelgard - Georges 1er de Wurtemberg : Comte de Montbéliard -

Heinrich Schickhardt : Architecte-Urbaniste et ingénieur militaire allemand - Marie-Éléonore de Clèves - Anne Marie de Brunswick-Lunebourg ou Anna Maria de Brunswick-Göttingen-Calenberg : Duchesse de Brunswick-Lüneburg - Manuel Alonso Perez de Guzman y Gomez de Silva : Comte de Niebla-Duc de Medina Sidonia-Marquis de Cazaza - Alessandro Ludovisi dit Grégoire XV : 234ème pape de l'Église catholique de 1621 à 1623 - Jean III Sigismond de Brandebourg : Électeur de Brandebourg de 1608 à 1619-Duc de Prusse de 1618 à 1619 - Guillaume de Clèves dit le Riche : Duc de Gueldre-Comte de Zutphen de 1538 à 1543-Duc de Clèves-Comte de la Marck de 1539 à 1592-Duc de Juliers, de Berg-Comte de Ravensberg de 1543 à 1592 - Herman de Lynden : Militaire au service du Saint Empire romain et du prince évêque de Liège-Chevalier-Baron du Saint Empire, de Reckheim, de Rijckholt - Alexandre Farnèse (1545-1592) : Noble italien de la Renaissance-Troisième duc de Parme et de Plaisance-Quatrième duc de Castro-Gouverneur des Pays-Bas espagnols - Sabine de Wurtemberg : Princesse de Wurtemberg - Charles 1er de Bourbon (archevêque de Rouen) : Cardinal de Vendôme-Prince de sang de la maison de Bourbon - Marie de Luxembourg (1462/1472-1547) - Jacques V ou James V : Roi de l'Écosse de 1513 à 1542 - Madeleine de France ou Madeleine de Valois : Reine consort d'Écosse par son mariage avec le roi Jacques V d'Écosse - Charles II de Bourbon (archevêque de Rouen) : Cardinal de Vendôme puis de Bourbon-Prince de sang de la maison de Bourbon - Anne de Joyeuse dit Joyeuse : Baron d'Arques-Baron-héréditaire de Languedoc-Vicomte puis duc de Joyeuse-Amiral de France-Mignon du roi Henri III - Giacomo della Porta : Architecte italien de l'art maniériste de la Contre-Réforme - Jean 1er de Brandebourg-Küstrin dit Le Sage : Margrave de Brandebourg-Küstrin de 1535 à 1571 - Sophie de Legnica - Catherine de Brandebourg-Küstrin : Margrave de Brandebourg-Küstrin-Électrice de Brandebourg par son mariage - Bernardo Salviati : Cardinal italien - Jacopo Salviati : Marchand et homme politique florentin de la Renaissance - Éléonore de Prusse : Princesse du Duché de Prusse-Électrice de Brandebourg par mariage - Giovanni Francesco Rustici ou Giovanfrancesco Rustichi : Sculpteur et architecte italien - Hélène Dragaš - Luisa Sigea de Velasco ou Louise Sigée : Poétesse et humaniste espagnole - Antonio da Sangallo dit le Vieux : Architecte italien - Baldassarre Peruzzi : Peintre, dessinateur et architecte italien - Pellegrino da San Daniele dit Martino di Battista ou Martino da Udine : Peintre italien de la haute Renaissance - Petrus Mosellanus né Peter Schade : Humaniste, philologue et théologien catholique - François Desmoulins de Rochefort ou François de Moulins de Rochefort : Grand aumônier de France - Bartolomeo Ammannati ou Ammanati : Architecte et sculpteur de l'école florentine - François Stella : Peintre français - Giovanni Antonio Bazzi, dit le Sodoma : Peintre italien de la haute Renaissance - Giuseppe Betussi : Écrivain italien polygraphe - Marcantonio Raimondi : Orfèvre et graveur italien - Jan Zamoyski ou Jean Sarius Zamoyski : Magnat polonais-1er ordynat de Zamość - Piero di Giovanni Bonaccorsi, dit Perino del Vaga ou Perin del Vaga : Peintre italien - Guillaume IX de Montferrat ou Guillaume IX Paléologue : Noble italien de la Renaissance-Marquis de Montferrat - Anne d’Alençon : Dame de La Guerche-Marquise de Montferrat - Isabelle d'Este : Duchesse de Milan - Ercole Gonzaga (1505-1563) : Cardinal italien - Jean Georges de Montferrat ou Jean Georges Paléologue : Noble de la Renaissance - Marguerite de Montferrat ou Marguerite Paléologue : Duchesse de Mantoue -



Barbara Radziwill (1520-1551

Reine consort de Pologne

Grande-duchesse consort de Lituanie


Fille du voïvode* et hetman* de Lituanie, Jerzy Radziwiłł, et de Barbara Kola. Elle est décrite comme une femme belle et bien éduquée, s'intéressant à la mode et à l'esthétique.


Le 18 mai 1537, Barbara épouse Stanislovas Goštautas, voïvode de Nowogródek* qui meurt en 1542.


Quelques années plus tard, une histoire d'amour se noue entre elle et Sigismond II de Pologne, fils du roi de Pologne. Les deux amants s'épousent secrètement.


En 1548 après la mort de son père, Sigismond devient roi de Pologne*. Il proclame son mariage secret avec Barbara Radziwiłł et refuse les injonctions de la Diète* qui entend casser cette union jugée inégale.


Ce mariage, qui renforce le pouvoir de la déjà très puissante famille Radziwiłł en lutte pour le contrôle du grand-duché de Lituanie*, rencontre également une forte opposition de la noblesse polonaise et de la famille royale. Il faut dire que Mikołaj Radziwiłł le Rouge, frère de Barbara, est un ardent défenseur de la souveraineté de la Lituanie contre toute union avec la Pologne, et que Mikolaj Krzysztof Radziwill, son cousin est lui est ardent partisan de la Réforme protestante et du Calvinisme. Le conflit dur 2 ans jusqu’à ce que Barbara soit couronnée, le 7 décembre 1550, en la cathédrale du Wawel à Cracovie *.


Le 8 mai 1551, cinq mois seulement après son couronnement, Barbara meurt subitement. Des soupçons d’empoisonnement se portent sur la reine mère, Bona Sforza. Sa mort est un grand chagrin pour le roi. Barbara ayant émis le souhait d'être enterrée en Lituanie, un cortège funèbre transporte son corps jusqu'à Vilnius* où elle est inhumée dans la crypte de la cathédrale*.


Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Barbara Radziwiłł »


Élisabeth d'Autriche (1526-1545)

Archiduchesse d'Autriche

Princesse de Hongrie et de Bohême

Reine consort de Pologne

Grande-duchesse consort de Lituanie


Aînée des 15 enfants issus du mariage de l'archiduc Ferdinand d'Autriche. Un mois et demi après la naissance de son premier enfant, celui-ci devint roi de Hongrie et de Bohême, sa femme Anne Jagellon héritant de la couronne de son frère, Louis II, mort sans descendance. Archiduchesse d'Autriche*, Élisabeth fut également titrée princesse de Hongrie* et de Bohême*.


Dès sa naissance, la petite princesse fut la cible de nombreuses convoitises, puisqu'étant la nièce du maître de l'Europe, Charles Quint, empereur et roi d'Espagne. De fait, elle reçut une éducation très complète, digne d'une future reine. Toutefois, elle souffrait d'étranges crises, plus ou moins violentes, qui la rendaient incontrôlable. Le temps allant, elle révéla une évidente épilepsie.


Sa maladie ne l'empêcha pas, cependant, de trouver un parti digne d'elle. En effet, en 1543, elle épousa Sigismond II Jagellon, roi de Pologne* et grand-duc de Lituanie*. Malheureusement, cette union ne trouva jamais l'harmonie, le roi préférant le lit de ses maîtresses à celui de son épouse, qu'il tint constamment en dehors des affaires d'État.


Élisabeth, malade et désespérée, n'eut pas d'enfants, et, le 15 juin 1545, mourut dans de mystérieuses circonstances à Vilnius*. Elle n'avait que 19 ans. Elle est enterrée à la cathédrale de Vilnius*.


La mort de la reine fut l'objet de nombreuses rumeurs d’empoisonnement, dont sa belle-mère, Bona Sforza, une ennemie des Habsbourg*, fut accusée. Mais, aucune preuve tangible n'ayant pu être portée à l'encontre de la reine douairière de Pologne, celle-ci ne fut donc pas inquiétée.


Son mari se remaria deux fois, avec sa maîtresse, Barbara Radziwiłł, d'abord, puis avec Catherine d'Autriche, propre sœur cadette de sa première épouse.


Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Élisabeth d'Autriche (1526-1545)/ Portail de l'Autriche/ Portail de la Pologne/ Portail de la Lituanie/ Catégories : Reine consort de Pologne/ Grande-duchesse consort de Lituanie/ Archiduchesse d'Autriche


Ferdinand 1er (empereur du Saint Empire) (1503-1564)

Empereur romain germanique de 1556 à 1564


Issu de la maison de Habsbourg. En 1521, il devient souverain des territoires héréditaires des Habsbourg* en tant qu'archiduc d'Autriche* ; en 1526, il devient roi de Bohême*, de Hongrie* et de Croatie*. Élu roi des Romains en 1531, du vivant de son frère aîné Charles Quint, il est le dernier roi germanique à avoir été couronné à Aix-la-Chapelle*.


Ferdinand est longtemps resté dans l'ombre de son frère ; néanmoins, le partage successoral de 1521 séparant définitivement les pays d'Autriche et des Pays-Bas* des Habsbourg lui confère déjà une position particulière. L'archiduc pose les bases de la gestion efficace de ses territoires. Il acquiert les royaumes de Bohême et de Hongrie par héritage, même si la plus grande partie de ce dernier est occupée par des troupes ottomanes*.


Dans le cadre des affaires du Saint Empire romain, il a longtemps agi comme représentant de son frère absent ; puis, à l'abdication de Charles Quint le 14 mars 1556, comme son successeur. Il est définitivement désigné empereur par l'assemblée des princes à Francfort le 24 mars 1558, la confirmation du pape n'étant plus jugée nécessaire. Ferdinand joue, en outre, un rôle important dans la conclusion de la paix d'Augsbourg* en 1555.


Né en Espagne, 4ème des 6 enfants de Philippe le Beau et de son épouse Jeanne de Castille et frère cadet du futur empereur Charles Quint, Ferdinand est le petit-fils de l'empereur Maximilien 1er du côté paternel et du roi Ferdinand II d'Aragon du côté maternel. Lorsqu'il est orphelin de père à 3 ans et que sa mère sombre dans la folie, il est élevé à la cour de son grand-père Ferdinand, et éduqué dans l'esprit de la scolastique espagnole. Petit-fils préféré, il est censé succéder à son grand-père sur les trônes espagnols de Castille* et d'Aragon* ; toutefois, le défunt Ferdinand n'a pas laissé de testament et c'est son frère aîné, né et élevé dans les Flandres*, qui devient roi des Espagnes* en 1516.


L'année suivante, Charles arrive en Espagne et les frères se rencontrent pour la première fois. En 1518, Ferdinand doit se rendre aux Pays-Bas. Il y poursuit ses études sous l'égide de sa tante Marguerite d'Autriche, qui le met en contact avec l'humanisme Érasme. L'intention de Marguerite de laisser Ferdinand se porter candidat à la succession de l'empereur Maximilien, en lieu et place de son frère Charles, échoua.


Maximilien mourut au château de Wels* le 12 janvier 1519 ; comme son fils Philippe le Beau était déjà décédé, son patrimoine passa aux fils de ce dernier, Charles et Ferdinand. En matière de succession, afin d'éviter un morcellement du domaine, le principe de primogéniture était la norme dans le système féodal de l'Espagne et des pays bourguignons*, tandis que dans les territoires héréditaires des Habsbourg l'héritage était réparti entre les fils du souverain décédé et gouverné en main commune. En conséquence, Charles, invoquant l'antériorité de sa naissance et les droits qui en découlent, reçut la totalité des territoires espagnols et bourguignons comme unique héritier. Quant à la question de la succession dans les pays autrichiens, Charles, ayant été élu empereur des Romains à Francfort le 18 juin 1519, et son frère Ferdinand se réunirent à la Diète de Worms* en 1521 et convinrent que Ferdinand devrait gouverner sur l'archiduché d'Autriche et l'Autriche intérieure* (les duchés de Styrie, de Carinthie et de Carniole ainsi que le Littoral). L'année suivante, Ferdinand obtint également le comté de Tyrol* et Vorarlberg* ainsi que les possessions de l'Autriche antérieure en Souabe*. Ferdinand gouvernait également sur les domaines du duc Ulrich VI de Wurtemberg confisqués par la ligue de Souabe*.


L'accord de 1521 était la première étape dans le processus de division de la maison de Habsbourg entre une branche espagnole et une branche autrichienne. Ferdinand fut nommé représentant de l'empereur en son absence et obtint finalement l'engagement de son frère de le soutenir à l'élection au roi des Romains comme successeur potentiel. En plus, la noce prévue avec Anne Jagellon, fille du roi défunt Vladislas, lui donna la perspective de succéder à ce dernier dans les pays de la couronne de Bohême et de Hongrie. Cet union, arrangée par l'empereur Maximilien en 1515 lors du double mariage entre sa petite-fille Marie avec le frère d'Anne, Louis II Jagellon, eut lieu le 26 mai 1521 à Linz. Ferdinand et Anne sont à l'origine de la branche des Habsbourg à Vienne dits aussi maison d'Autriche, préparant le chemin pour la monarchie de Habsbourg.


Toutefois, la prise de pouvoir s'avéra particulièrement difficile. À la fin du règne de Maximilien, les territoires héréditaires sont surendettés et une politique d'austérité dure fut mise en place par le nouvel archiduc, qui ne parle même pas la langue allemande et est entouré de conseillers espagnols. Avec cette méthode, Ferdinand s'attira la haine de l'aristocratie ainsi que des citoyens.


En 1522, il décide de faire un exemple public : le maire rebelle de Vienne* et 7 conseillers sont menacés de la peine de mort et exécutés à Wiener Neustadt*. Finalement, l'archiduc réussit à mettre un terme à l'emprise des États. Il poursuivit la politique de centralisation commencée par son grand-père Maximilien et crééa un réseau des différents services administratifs, notamment le Geheimer Rat* (un collège de conseillers), Hofkammer (une autorité budgétaire centrale) et une Hofkanzlei* (chancellerie à la cour).


Plus tard, en 1556, le Hofkriegsrat* (Conseil aulique de la guerre) fut établi, chargé de l'administration des guerres du Saint Empire et des autres possessions de la maison d'Autriche.


À Vienne, la Hofburg* fut reconstruite en tant que résidence somptueuse pendant les années 1530.


Ferdinand favorisa le développement de l'université de Vienne*, et son médecin personnel fut l'érudit humaniste Wolfgang Lazius. Peu à peu, des nobles locaux furent nommés aux postes politiques importants. Bernhard von Cles, prince évêque de Trente* et consultant influent de l'archiduc, devint président du collège de conseillers en 1527.


Au sud-est du Saint Empire, les forces ottomanes du sultan Soliman le Magnifique avançaient. La politique expansionniste du souverain turc se retourna contre le royaume de Hongrie. À l'été 1521, ses troupes assiégèrent Belgrade* et s'emparèrent de la ville jusqu'au 29 août. Le roi Louis II de Hongrie, beau-frère de Ferdinand depuis le double mariage de 1515, était devenu majeur en 1522 ; il ne disposait pas d'une armée de métier pour défendre les frontières contre l'envahisseur. Son épouse Marie était en demande d'aide de sa part auprès de ses frères Charles et Ferdinand, mais en vain. Le 29 août 1526, une force hongroise mal préparée subit une défaite écrasante à la bataille de Mohács *; Louis II et son commandant, l'archevêque Pál Tomori, moururent dans les combats.


Héritant avec son épouse Anne Jagellon, Ferdinand avait droit à succéder au trône de Bohême et de Hongrie. Son beau-frère, le roi Louis II, n'avait laissé aucun descendant mâle ; toutefois, les deux monarchies étaient théoriquement électives et comme successeur, Ferdinand avait besoin du soutien de la noblesse locale. En Bohême, un État impérial, il fut immédiatement inféodé avec le pays par son frère, l'empereur Charles Quint. Néanmoins, Ferdinand dut faire de trop nombreuses concessions aux aristocrates revendiquant plus d'autonomie, et alors seulement, le 22 octobre 1526, l'assemblée des États au château de Prague l'élit roi. Le couronnement eut lieu le 24 février 1527. Avec la couronne de Bohême, le patrimoine de l'empereur Charles IV, les Habsbourg acquérirent la dignité électorale longtemps attendue. Le royaume de Bohême, le margraviat* de Moravie* et les duchés de Silésie*, ainsi que la Basse- et la Haute Lusace* furent inclus dans leur emprise en tant que parties intégrantes de la monarchie de Habsbourg.


La situation en Hongrie était en revanche plus difficile : même si les nobles de Croatie l'avaient élu roi en 1527, une majorité des États hongrois et de la petite noblesse rejetèrent la succession de Ferdinand et se prononcèrent en faveur de Jean Zapolya, voïvode* de Transylvanie. Jean se fit élire roi de Hongrie par une diète réunie à Székesfehérvár* (Albe Royale) le 10 novembre 1526 et fut couronné le lendemain sous le nom de Jean 1er. En même temps, la minorité des États refusant d'accepter son règne s'était réunie à Presbourg*, déclarait les décisions de Székesfehérvár non valides, et élit l'archiduc Ferdinand roi de Hongrie le 17 décembre 1526. Par cet événement historique, l'union personnelle entre l'Autriche et la Hongrie fut scellée.

L'année suivante, Ferdinand commença une campagne en Hongrie et Jean Zapolya dut fuir vers la Pologne. Il put se faire couronner le 3 novembre 1527 ; toutefois, le pays sombra peu après dans une guerre civile. Jean demanda l'aide du sultan Soliman, et les forces ottomanes marchèrent de nouveau sur la Hongrie. Ferdinand n'avait guère le pouvoir de s'opposer à une armée de 100 000 hommes. En 1529, les Ottomans conquirent la ville de Buda*, et le siège de Vienne commença le 17 septembre. Les troupes de Soliman se retirèrent en octobre ; toutefois, la partie sud-est de la Hongrie restera sous l'occupation turque à long moment.


Ferdinand signa finalement le 24 février 1538 le traité de Nagyvárad* avec Jean Zapolya. Les deux parties convinrent de reconnaître la seigneurie de Jean au sein du royaume de Hongrie en échange du droit de Ferdinand d'hériter son patrimoine. Toutefois, la réalisation de l'accord se révéla difficile : à la mort de Jean en 1540, sa veuve Isabelle Jagellon revendique le trône pour son fils Jean Sigismond qui est élu roi par les partisans de son père. Après la guerre austro turque, la Hongrie resta divisée et Ferdinand ne régna que sur la partie nord-ouest jusqu'au lac Balaton*, nommée la Hongrie royale, résidant à Presbourg. La partie centrale autour de Buda était occupée par les forces ottomanes alors que dans l'est, Ferdinand dut subir le développement de la Transylvanie* comme principauté quasi indépendante sous le règne de Jean Sigismond Zapolya mais vassale de l’Empire ottoman.


Le règne de Ferdinand fut paisible malgré des difficultés pour s'imposer en Hongrie : depuis les années 1520, les Militärgrenze* (confins militaires) sont créés par les Habsbourg, une zone tampon de largeur variable située le long des frontières avec les Ottomans en Croatie, Hongrie, Voïvodine* et Banat*.


Tenant compte de la menace de nouvelles attaques, le roi obtient l'aide financière considérable par ordonnances de la Diète d'Empire. La situation politique de la Hongrie demeure fragile.


Dès le début de son règne en Hongrie et en Bohême, sous l'influence de ses conseillers allemands, juristes spécialisés en droit romain, Ferdinand 1er poursuivit la politique absolutiste et centralisatrice dont les innovations principales étaient : la rémunération des fonctionnaires de l'État en numéraire, et non par des donations, la séparation des affaires financières des affaires politiques et judiciaires, la gestion collégiale des compétences qui assure, par une surveillance mutuelle, une administration fiable.


Ne convoquant les États généraux que contraints et forcés par des circonstances politiques exceptionnelles, les souverains habsbourgeois gèrent leurs États à partir d'institutions centrales créées dès le 1er janvier 1527 : un Conseil Secret qui s'occupe des affaires extérieures et des questions générales de politique intérieure et un Conseil de la Cour pour l'administration centrale et les affaires judiciaires, les décisions des deux corps étant soumis à l'approbation de la Chancellerie de la Cour. Les finances sont gérées par la Chambre de la Cour. En 1556, est créé un Conseil Suprême de Guerre pour les Affaires Militaires.


Charles abdique de la couronne impériale en faveur de Ferdinand, après son retrait du Saint Empire en 1556. Le pape Paul IV refusa de le reconnaître pour chef du Saint Empire, parce que le consentement du Saint-siège n'était intervenu ni dans son élection ni dans l'abdication de Charles Quint : Ferdinand nia la nécessité de ce consentement, et depuis, les empereurs ont cessé de demander la confirmation du pape. Ses dernières années furent consacrées à concilier les protestants et les catholiques.


Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu du texte de Claude Michaud, Ferdinand de Habsbourg (1503-1564), Paris, Honoré Champion, coll. « Bibliothèque d'études de l'Europe centrale » (no 10), 2013, 388 p. (ISBN 978-2-7453-2461-0)

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